Selon Mgr Kulbokas, c’était bien un bombardement russe « qui n’a pas été intercepté par la défense aérienne, arrivant intact et frappant le service de dialyse de l’hôpital pour enfants ».
Dans un post publié sur X le 9 juillet, le ministère de l’Intérieur ukrainien a fait état de deux morts et 32 blessés.