Le 23 juin, aux côtés du réseau mondial pour la liberté (WFN) et de l’Armée du Salut, l’AEM a appelé les États membres à ratifier la convention de l’OIT sur le travail décent pour les travailleurs domestiques. Elle a dénoncé les formes modernes d’exploitation cachées derrière des contrats apparemment légaux, et insisté : « Les gouvernements doivent être tenus responsables. »
Le 27 juin, c’est la situation au Burundi qui a retenu l’attention de l’organisation. Avec Portes Ouvertes Internationales, elle a interpellé le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits de l’homme dans le pays. L’AEM a demandé la suspension d’une loi controversée régulant les activités religieuses, et plaidé pour un dialogue sincère avec les responsables religieux.
Le 30 juin, à l’occasion de l’adoption de l’Examen Périodique Universel (EPU) de l’Italie, l’AEM et son antenne italienne ont dénoncé les obstacles administratifs auxquels sont confrontées les minorités religieuses, notamment les évangéliques, dans l’ouverture de lieux de culte. Elles ont appelé à l’adoption d’une loi garantissant une liberté religieuse pleine et entière.
Le 1er juillet, l’AEM a tourné ses regards vers la Bolivie, exhortant l’État à reconnaître le droit à l’objection de conscience au service militaire et à assouplir le processus d’enregistrement des communautés religieuses.
Enfin, le 3 juillet, l’organisation a pris part à un appel interreligieux en faveur des droits humains en Érythrée, dans le cadre d’une initiative de la Table ronde pour la liberté religieuse (IRF Roundtable). Elle a salué le renouvellement du mandat du rapporteur spécial de l’ONU pour ce pays, où plusieurs responsables évangéliques sont emprisonnés sans procès depuis plus de deux décennies.
Source: info chrétiennes.com