Or, cette souffrance fut nécessaire pour parvenir à la confession de son péché et à la libération : « Je t’ai fait connaître mon péché… et tu as effacé la peine de mon péché. » (Psaume 32:5)
Dans ce cas, la souffrance générée par le péché fut utile pour le conduire vers la repentance et la libération. Nous avons, certainement, tous eu des douleurs ici ou là, et ces signaux nous ont amenés à consulter un médecin. Parfois ces signaux d’alarme ont permis de diagnostiquer une maladie à temps pour qu’elle soit traitée efficacement. Dans ces cas, nous pouvons dire que la douleur, aussi pénible qu’elle ait été, a eu son utilité.
L’une des maladies des plus mortelles est le cancer, pourquoi ? Parce que le cancer pendant la première phase de son développement est indolore. Il n’y a pas ce signal d’alarme qu’est la douleur, et malheureusement, cette absence de souffrance entraîne un manque de vigilance dangereux. Certaines personnes sont totalement insensibles à la douleur, soit suite à des lésions cérébrales ou à des facteurs génétiques.
Cette absence de douleur, au lieu d’être une chance, est un problème majeur. Sans la souffrance, il n’y a plus de signaux d’alarme, et le risque de passer à côté d’une grave maladie est encouru. Il a été établi que les mêmes centres de la douleur sont activés dans notre cerveau quand on a physiquement mal, et quand on souffre de certains troubles émotionnels tels qu’une séparation ou un deuil.
Certaines souffrances peuvent avoir cette utilité de nous faire prendre conscience d’un problème, alors nous sommes en mesure d’appliquer le traitement qui s’impose : venir ou revenir à Dieu, pour en sortir vers le haut.
« Seigneur, alors qu’une souffrance émotionnelle ou physique me tenaille, je veux être attentif(ve) à cela, et chercher près de toi le chemin qui va me permettre d’en sortir par le haut. Au nom de Jésus, amen ! »
Source: Info chrétienne.com