L’apôtre Paul l’exprime ainsi :
« Et même si mon être extérieur se détruit de jour en jour à cause de sa maladie, mon être intérieur se renouvelle de jour en jour. » (2 Corinthiens 4:16)
N’est-ce pas heureux d’être avec le Seigneur ? N’est-ce pas heureux d’avoir la vie éternelle ? La maladie qui conduit à la mort n’est pas une catastrophe, elle ne fait que nous introduire dans la vraie vie, celle qui ne finira jamais, celle qui « sera sans larme sans deuil, ni cri ni douleur. » (Apocalypse 21:4)
Certes lorsque la maladie emporte un être cher, surtout lorsqu’il est encore jeune ; ce départ laisse un grand vide pour sa famille et ses amis. Cependant, quelle consolation nous avons car nous savons que « ceux qui meurent dans le Seigneur sont heureux » (Apocalypse 14:13), et, que « Dieu ressuscitera leur corps par Jésus » (1 Thessaloniciens 4:16), et que le « corps mortel revêtira l’immortalité et le corps infirme sera plein de force. »(1 Corinthiens 15:42-43)
Ainsi, lorsque la maladie conduit à la mort, consolons nos cœurs au travers de ces merveilleuses promesses, et regardons au-delà de la maladie.
« Seigneur, alors que la maladie a emporté un être cher, nous te prions pour que nous placions cette situation dans la perspective de l’éternité. Je prie en particulier pour des parents qui ont perdu un enfant emporté par la maladie, et pour un conjoint qui a perdu son compagnon ou sa compagne ; que le Saint-Esprit les aide à voir au-delà de la maladie ! Au nom de Jésus, amen ! »
Avec amour,
Paul Calzada