journalistique, des phrases fluides, et des interventions directes du Pasteur Arnaud Sahi, dans un style adapté à un article de presse :

L’orateur a insisté sur l’origine biblique de l’onction, rappelant qu’elle marquait les rois, les prophètes et les sacrificateurs dans l’Ancien Testament. « Chaque fois que Dieu voulait faire une chose nouvelle, Il passait par l’onction », a-t-il expliqué.

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Mais au-delà des textes, c’est dans la vie du chrétien d’aujourd’hui que cette réalité doit se traduire. Le Pasteur Sahi a précisé : « L’onction ne sert pas à impressionner. Elle est faite pour impacter. Celui qui reçoit l’onction reçoit aussi la responsabilité d’agir au nom de Dieu. »

Il a mis en garde contre les obstacles qui peuvent empêcher l’onction de s’exprimer pleinement : le doute, le péché caché, le manque de consécration. « On ne joue pas avec l’onction. Elle se respecte, se cultive et se protège », a-t-il insisté.

Sur la question de la transmission, il a souligné l’importance des relations spirituelles. « L’onction peut être transmise. Un mentor spirituel peut vous imposer les mains et transférer une grâce. Mais il faut être prêt à payer le prix de la consécration », a averti le pasteur.

Il a également rappelé que cette onction est un outil de transformation intérieure. « Plus tu es dans l’onction, plus tu ressembles à Christ. L’onction, ce n’est pas juste de l’huile, c’est une vie mise à part. »

Enfin, il a appelé les croyants à vivre quotidiennement sous cette onction. « Ce n’est pas pour les dimanches seulement. C’est une manière de marcher, de parler, de penser. Celui qui vit dans l’onction vit dans la volonté de Dieu. »

À travers ses paroles, le Pasteur Arnaud Sahi a livré un message clair : l’onction est un don divin mais aussi une responsabilité. Elle est donnée pour servir, transformer et élever. Et surtout, elle appelle chaque croyant à un engagement sincère avec Dieu.