L’analogie de la foi : une clé d’interprétation simple mais essentielle
Ce terme peut paraître un peu obscur, mais il est en réalité très simple à comprendre. Quand nous étudions un passage biblique – qu’il s’agisse d’un verset, d’un chapitre ou même d’un ensemble plus important – nous devons toujours le confronter avec le reste de ce que dit la Bible sur le même sujet dans son ensemble. Le but étant d’arriver à une compréhension plus claire et plus globale du thème que nous sommes en train d’étudier dans notre passage.
Ce terme peut paraître un peu obscur, mais il est en réalité très simple à comprendre. Quand nous étudions un passage biblique – qu’il s’agisse d’un verset, d’un chapitre ou même d’un ensemble plus important – nous devons toujours le confronter avec le reste de ce que dit la Bible sur le même sujet dans son ensemble. Le but étant d’arriver à une compréhension plus claire et plus globale du thème que nous sommes en train d’étudier dans notre passage.
Par exemple, vous êtes en train d’étudier un passage de l’évangile de Matthieu où Jésus parle des petits enfants. Commencez par réellement étudier ce passage sans regarder autre chose. Mais une fois cela fait, allez voir dans les autres évangiles les passages qui sont parallèles à ce texte et même les autres passages où Jésus parle des petits enfants, que ce soit dans Matthieu ou dans les autres évangiles. Cela vous donnera une compréhension plus juste de ce qu’il a voulu dire. Les petits enfants ont-ils des anges gardiens personnels ? Cela vous paraîtra clair chez Matthieu, pourtant ça le sera beaucoup moins en regardant les autres passages.
Le but est donc d’éclairer un passage avec d’autres passages pour qu’il devienne plus clair. Il y a donc quelques règles à respecter. Ce sont par exemple les textes clairs qui doivent éclairer les textes obscurs, et non l’inverse. Eclairer la doctrine généralement claire des épîtres avec l’Apocalypse est donc globalement une erreur (ce qui ne veut pas dire que l’Apocalypse n’a rien à nous apprendre en lui-même, bien au contraire). Ensuite, il faut respecter le mouvement de la Révélation progressive de Dieu. On éclaire donc l’Ancien Testament avec le Nouveau, et non l’inverse (bien que l’Ancien nous aide à mieux comprendre le Nouveau Testament).
Quelques exemples à ne pas oublier
– Quand *DIEU* a voulu créer *le poisson* , il a parlé à la *mer*.
– Quand *DIEU* a voulu créer *des arbres* , il a parlé à la *terre*.
– Mais quand *DIEU* a voulu créer *l’homme* , il s’est tourné vers *LUI-MÊME*.
– Alors *DIEU* a dit: * »Faisons l’homme à notre image et ressemblance »*.
*Remarque:*
– Si vous sortez un *poisson de l’eau, il mourra* ;
– quand *vous enlevez un arbre du sol, il meurt aussi*.
– De même, quand *l’homme* se déconnecte de *DIEU, il meurt*.
– *DIEU* est notre *environnement naturel*. Nous avons été créés pour vivre en SA présence*.
– Nous devons être connectés avec *Lui* car seulement avec *Lui* la vie existe.
– Restons *connectés avec DIEU*.
– N’oubliez pas que *l’eau* sans poisson est toujours de l’eau , mais *les poissons sans eau ne sont rien*.
– Le *sol* sans arbre est encore de la terre , mais *l’arbre sans terre n’est rien* …
– *Dieu* sans l’homme est toujours *Dieu*, mais *l’homme sans DIEU n’est rien*
*Que Dieu vous bénisse tous*.
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